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| Élections fédérales 2015
Sans la vertu,
les promesses ne valent rien
| LA DÉPÊCHE NUMÉRO 67 - 15/06/15
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| Stephen Harper célèbre sans réserve le 200e anniversaire de John A. Macdonald malgré les valeurs exécrables qu’il symbolise.
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Actions racistes,
ethnocidaires
et antidémocratiques;
répression des Métis,
des Premiers peuples
et des Canadiens français;
discrimination à l’endroit
des Sino-Canadiens et
des Afro-Canadiens;
corruption...
John A. Macdonald était loin d’être un politicien vertueux.
«Il n’y a rien à fêter», insistait l’ancien premier ministre du Québec Bernard Landry en se joignant aux contre-célébrations du bicentenaire du fondateur du Canada:
(www.sinistrejohna2015.ca)
Avec Macdonald, on ne peut pas dire que le Canada a vu le jour entre des mains très honnêtes. Alors, près de 150 ans plus tard, quelle valeur doit-on accorder aux paroles d’un politicien qui tient tant à fêter un homme à l’origine d’un véritable «sinistre» pour le pays?
Stephen Harper devrait avoir honte de célébrer sans réserve comme il le fait le 200e anniversaire de John A. Macdonald malgré les valeurs exécrables qu’il symbolise et qui méritent de rester cachées... au placard!
 Retrouvez ce texte sur papier glacé dans Les dernières dépêches du numéro 67 de La Dépêche. Également à lire dans cette 67e édition, un texte sur l'à-plat-ventrisme exceptionnel du premier ministre québécois Philippe Couillard. Enfin, toujours dans ce même numéro, un article sur le Parti libéral du Québec considérant l'immigration comme un moyen de consolider honteusement sa base électorale.
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